Letra de Tombent Les Feuilles - Michel Jonasz
Letra de canci�n de Tombent Les Feuilles de Michel Jonasz lyrics
Il pleut.
Le soir descend.
Tombent les feuilles.
Orang�, le ciel.
Jaune, la terre.
Ce sont des mots d'enfant
Sur une feuille.
C'�tait un po�me pour lui plaire.
Regardez: c'est la neige,
Ces flocons qui voltigent.
C'est beau,
C'est l'hiver qui danse.
J'�tais tr�s fier de �a.
Ces flocons qui voltigent,
C'est beau,
Un amour d'enfance.
On jouait le dimanche.
Les pierres du terrain vague devenaient
Du sable d'or
Et l'on voyait l'�cume.
On s'inventait l'orage,
Au loin, un s�maphore.
Regarde comme il penche,
Le voilier sur la vague.
Regarde, il rentre au port.
Quand deux �mes ne sont qu'une,
Elles font le m�me voyage
Et c'est l'�le au tr�sor.
Il pleut.
Le soir descend.
Tombent les feuilles.
Orang�, le ciel.
Jaune, la terre.
Ce sont des mots d'enfant
Sur une feuille,
Une po�sie pour lui plaire.
"Tu m'�cris des po�mes?",
Murmura-t-elle un soir.
"C'est bien mais pas assez:
https://www.coveralia.com/letras/tombent-les-feuilles-michel-jonasz.php
Regarde-moi dans les yeux.
Pour savoir si on s'aime
Vraiment,
Faut s'embrasser."
Et j'ai pos� mes l�vres
Sur sa bouche enfantine.
Mon coeur battait si fort
Que c'�tait comme un feu
Br�lant dans ma poitrine,
C'�tait l'�le aux tr�sor.
On s'aimera tous les deux
Jusqu'� la fin du monde
Et m�me apr�s la mort
On ira s'embrasser,
Cach�s aux yeux du monde
Derri�re un m�t�ore.
Un jour, elle est partie
Pour une ville autre part.
Un jour, elle m'a laiss�.
Adieu l'�cume, adieu
Le voilier sur la vague,
Adieu sable dor�.
Et j'ai march� longtemps,
Dans les rues, au hasard.
Longtemps je l'ai cherch�e.
Et j'ai pleur� souvent
Au bord du terrain vague
Et puis j'ai oubli�.
Il pleut.
Le soir descend.
Tombent les feuilles.
Orang�, le ciel.
Jaune, la terre.
Nous �tions deux enfants.
Tombent les feuilles.
Passe le temps
Et tourne la Terre.
Le soir descend.
Tombent les feuilles.
Orang�, le ciel.
Jaune, la terre.
Ce sont des mots d'enfant
Sur une feuille.
C'�tait un po�me pour lui plaire.
Regardez: c'est la neige,
Ces flocons qui voltigent.
C'est beau,
C'est l'hiver qui danse.
J'�tais tr�s fier de �a.
Ces flocons qui voltigent,
C'est beau,
Un amour d'enfance.
On jouait le dimanche.
Les pierres du terrain vague devenaient
Du sable d'or
Et l'on voyait l'�cume.
On s'inventait l'orage,
Au loin, un s�maphore.
Regarde comme il penche,
Le voilier sur la vague.
Regarde, il rentre au port.
Quand deux �mes ne sont qu'une,
Elles font le m�me voyage
Et c'est l'�le au tr�sor.
Il pleut.
Le soir descend.
Tombent les feuilles.
Orang�, le ciel.
Jaune, la terre.
Ce sont des mots d'enfant
Sur une feuille,
Une po�sie pour lui plaire.
"Tu m'�cris des po�mes?",
Murmura-t-elle un soir.
"C'est bien mais pas assez:
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Regarde-moi dans les yeux.
Pour savoir si on s'aime
Vraiment,
Faut s'embrasser."
Et j'ai pos� mes l�vres
Sur sa bouche enfantine.
Mon coeur battait si fort
Que c'�tait comme un feu
Br�lant dans ma poitrine,
C'�tait l'�le aux tr�sor.
On s'aimera tous les deux
Jusqu'� la fin du monde
Et m�me apr�s la mort
On ira s'embrasser,
Cach�s aux yeux du monde
Derri�re un m�t�ore.
Un jour, elle est partie
Pour une ville autre part.
Un jour, elle m'a laiss�.
Adieu l'�cume, adieu
Le voilier sur la vague,
Adieu sable dor�.
Et j'ai march� longtemps,
Dans les rues, au hasard.
Longtemps je l'ai cherch�e.
Et j'ai pleur� souvent
Au bord du terrain vague
Et puis j'ai oubli�.
Il pleut.
Le soir descend.
Tombent les feuilles.
Orang�, le ciel.
Jaune, la terre.
Nous �tions deux enfants.
Tombent les feuilles.
Passe le temps
Et tourne la Terre.