Letra de Les Deux Soeurs - Pigalle
Letra de canci�n de Les Deux Soeurs de Pigalle lyrics
Sur la digue, on voyait les anneaux o� les matelots arrimaient jadis les bateaux
On voyait juste au dessus du quai, la maison des deux soeurs avec les volets ferm�s.
Les marins se rasaient s'habillaient. En remontant le petit sentier. Ils souriaient.
Elles, elles avaient, avant, d�j� rep�r� l'arriv�e des voiles blanches � l'horizon l� bas.
Le vin blanc un peu aigre coulait, les deux soeurs avaient mis leurs belles robes et se servaient.
Il n'y avait que pour ces occasions qu'elles ouvraient les volets verts de la grande maison.
https://www.coveralia.com/letras/les-deux-soeurs-pigalle.php
Quand la lune �clairait la crique, le chant des marins se faisait plus m�lancolique
Dans leurs yeux s'allumait la lueur, celle des semaines en mer, la solitude au cÂœur.
Alors, les deux soeurs se regardaient, et dans un m�me sourire grave se d�shabillaient
Elles offraient aux yeux des matelots tous leurs tr�sors, devant le feu qui faisait des vagues sur leurs corps.
On voyait juste au dessus du quai, la maison des deux soeurs avec les volets ferm�s.
Les marins se rasaient s'habillaient. En remontant le petit sentier. Ils souriaient.
Elles, elles avaient, avant, d�j� rep�r� l'arriv�e des voiles blanches � l'horizon l� bas.
Le vin blanc un peu aigre coulait, les deux soeurs avaient mis leurs belles robes et se servaient.
Il n'y avait que pour ces occasions qu'elles ouvraient les volets verts de la grande maison.
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Quand la lune �clairait la crique, le chant des marins se faisait plus m�lancolique
Dans leurs yeux s'allumait la lueur, celle des semaines en mer, la solitude au cÂœur.
Alors, les deux soeurs se regardaient, et dans un m�me sourire grave se d�shabillaient
Elles offraient aux yeux des matelots tous leurs tr�sors, devant le feu qui faisait des vagues sur leurs corps.