Letra de Coup De Foudre - Debout Sur Le Zinc
Letra de canci�n de Coup De Foudre de Debout Sur Le Zinc lyrics
Il faisait nuit, il pleuvait fort sur ma route ;
J'�tais � pied, je ne comptais plus les gouttes ;
Pauvre diable perdu en chemin,
J'ai pris le rallongi du destin.
Bien trop tremp� pour pouvoir continuer,
A la premi�re porte je choisis de toquer ;
Cherchant juste une �me charitable,
Un p'tit bout de pain au coin d'une table.
Quand enfin f�t tir�e la bobinette,
Et qu'un chat noir entre mes jambes e�t pass�
Que de la porte � peine entrouverte
J'entendis mon h�te me questionner.
Je per�us tout d'abord comme un cantique
Une voix de femme comme on en fait plus,
Puis une question d'ordre plus pratique :
"Que voulez-vous � cette heure indue ? "
[Refrain]
Jamais, non jamais,
A cette porte, je n'aurais du frapper ;
Si je pouvais tout changer,
Je s'rai chez moi seul sous ma couette, dans mon lit douillet
Je mis bien dix secondes � lui r�pondre
Tant cette voix me fit l'effet d'un baiser ;
Tant l'instant assommait ma faconde,
Tant ma bouche partait pour balbutier.
Puis retrouvant la ma�trise de mes babines,
Cherchant en moi l'�loquence d'un roi ;
Je lui r�pondis d'une voix c�line :
"Je suis perdu, tremp�, aidez-moi. "
[Refrain]
Car s�rement surprise par l'audace d'une telle demande,
Elle ouvrit sa porte et me chanta "suivez-moi"
Maintenant pourvu de son offrande,
J'entrai puis lui enquillai le pas.
Je la suivis dans un petit couloir sombre,
https://www.coveralia.com/letras/coup-de-foudre-debout-sur-le-zinc.php
O� sa silhouette, telle la plus belle des ombres,
Flottait devant mes yeux m�dus�s ;
Je sentais mes jambes vaciller.
[Refrain]
Une fois assis tout pr�s de la chemin�e,
Pr�s d'une table o� elle s'�tait install�e ;
Je d�couvris pour la premi�re fois
Son visage, son corsage, oulalah...
Elle me parlait, mais je ne l'entendais pas -
J'�tais mouill�, mais qu'est-ce que je m'en foutais ;
Tout mon or aujourd'hui je donnerais
Pour qu'ici l'histoire f�t achev�e.
Retrouvant mes facult�s auditives ;
Je compris, fort g�n�, qu'elle me proposait -
Comme elle le faisait pour ses convives -
De m'aider � me d�barrasser.
H�las, sous l'effet de l'humidit�,
Mon par-dessus avait bien s�r r�tr�cit ;
On eut bien du mal � l'enlever ;
Et commenc�rent les acrobaties.
Elle tirait si fort
Sur mes manches que tout finit pas l�cher,
Et me voila moiti� nu,
Devant la b�te, qui tr�bucha, et tomba dans mes bras !
Mais !
Sous l'�motion, mon coeur, lui aussi, l�cha ;
Comme foudroy� par une fl�che trop ac�r�e ;
Son bouche-�-bouche aggrava mon cas !
Bien mort, je vis mon �me s'envoler !
Depuis ce jour, de nuage adopt�,
Il pleut des larmes sur la maison ador�e ;
Il fait orage quand elle est amoureuse,
Et beau temps quand elle est malheureuse !
J'�tais � pied, je ne comptais plus les gouttes ;
Pauvre diable perdu en chemin,
J'ai pris le rallongi du destin.
Bien trop tremp� pour pouvoir continuer,
A la premi�re porte je choisis de toquer ;
Cherchant juste une �me charitable,
Un p'tit bout de pain au coin d'une table.
Quand enfin f�t tir�e la bobinette,
Et qu'un chat noir entre mes jambes e�t pass�
Que de la porte � peine entrouverte
J'entendis mon h�te me questionner.
Je per�us tout d'abord comme un cantique
Une voix de femme comme on en fait plus,
Puis une question d'ordre plus pratique :
"Que voulez-vous � cette heure indue ? "
[Refrain]
Jamais, non jamais,
A cette porte, je n'aurais du frapper ;
Si je pouvais tout changer,
Je s'rai chez moi seul sous ma couette, dans mon lit douillet
Je mis bien dix secondes � lui r�pondre
Tant cette voix me fit l'effet d'un baiser ;
Tant l'instant assommait ma faconde,
Tant ma bouche partait pour balbutier.
Puis retrouvant la ma�trise de mes babines,
Cherchant en moi l'�loquence d'un roi ;
Je lui r�pondis d'une voix c�line :
"Je suis perdu, tremp�, aidez-moi. "
[Refrain]
Car s�rement surprise par l'audace d'une telle demande,
Elle ouvrit sa porte et me chanta "suivez-moi"
Maintenant pourvu de son offrande,
J'entrai puis lui enquillai le pas.
Je la suivis dans un petit couloir sombre,
https://www.coveralia.com/letras/coup-de-foudre-debout-sur-le-zinc.php
O� sa silhouette, telle la plus belle des ombres,
Flottait devant mes yeux m�dus�s ;
Je sentais mes jambes vaciller.
[Refrain]
Une fois assis tout pr�s de la chemin�e,
Pr�s d'une table o� elle s'�tait install�e ;
Je d�couvris pour la premi�re fois
Son visage, son corsage, oulalah...
Elle me parlait, mais je ne l'entendais pas -
J'�tais mouill�, mais qu'est-ce que je m'en foutais ;
Tout mon or aujourd'hui je donnerais
Pour qu'ici l'histoire f�t achev�e.
Retrouvant mes facult�s auditives ;
Je compris, fort g�n�, qu'elle me proposait -
Comme elle le faisait pour ses convives -
De m'aider � me d�barrasser.
H�las, sous l'effet de l'humidit�,
Mon par-dessus avait bien s�r r�tr�cit ;
On eut bien du mal � l'enlever ;
Et commenc�rent les acrobaties.
Elle tirait si fort
Sur mes manches que tout finit pas l�cher,
Et me voila moiti� nu,
Devant la b�te, qui tr�bucha, et tomba dans mes bras !
Mais !
Sous l'�motion, mon coeur, lui aussi, l�cha ;
Comme foudroy� par une fl�che trop ac�r�e ;
Son bouche-�-bouche aggrava mon cas !
Bien mort, je vis mon �me s'envoler !
Depuis ce jour, de nuage adopt�,
Il pleut des larmes sur la maison ador�e ;
Il fait orage quand elle est amoureuse,
Et beau temps quand elle est malheureuse !
